mercredi 31 janvier 2007

Bourguignon et moi!

Voici l'entrevue que m'a accordée l'auteur de Tout sur moi. C'est à la Une de la section "livres". Wouuuu...! Je me peux pus!

http://www.canoe.com/divertissement/livres/

Bonne lecture,
Stéphane

Les Macchabées : le pied dans la tombe

Malgré leur nom, les Macchabées ont été bien vivants dans ma vie au cours des dernières années. Que de blagues, de jeux de mots douteux j'ai entendus au cours de ces 10 ans : "Les Macchabées c'est-tu mort?"

Cette fois-ci, c'est pas une joke. Depuis ce matin, la fin des Macchabées est imminente.

Les Macchabées referment le livre(la pochette du 33 tours?). Après des centaines de spectacles, deux albums, un 7", etc. Pas mal pour un groupe qui n'a jamais vraiment eu de site Internet et encore moins de dossiers de presse. C'est sûr que bien des groupes en ont fait davantage en moins de temps mais on s'en fout. Notre plaisir ne se comptait pas en nombre de disques vendus ni en concerts sold-out.

J'ai encore chez moi plein de photos mémorables. Que de villes que je n'aurais foulées si ce n'était des Macchabées : London, Hamilton, Tracy!

Mes souvenirs sont nombreux mais j'en ai retracé quelques-uns.

Les Macchabées au défunt Café Campus de Sherbrooke où nous étions tellement saouls que Jean était tombé dans le drum à la fin du set et moi je le forcais à faire un rappel.

Michel qui vomit son sous-marin Mike's avant d'entrer sur scène en première partie des Kingpins.

Jean et moi pompés à mort contre le chanteur des Marmottes applaties parce qu'on pensait qu'il avait bitché Michel. Nous avions lancé des verres de bières sur la scène pendant qu'ils jouaient.

Une virée à Hamilton où nous avions deux shows le même soir! Un au défunt Raven et l'autre tout de suite après pour le lancement d'une galerie d'art. Putain ce qu'on était crinqués!

Michel qui se promène avec une canne avant un concert à London parce qu'il avait trop mal au dos. Il est entré sur scène fringant comme un jeune premier et a repris sa canne tout de suite après!

Des souvenirs impérissables, ma tête en contient tout plein. C'est la fin d'une époque comme on dit. Je porte aujourd'hui fièrement le seul t-shirt que les Macchabées ont fait imprimer. Et je l'aurai toujours.

Je reviendrai avec d'autres anecdotes en cours de route.
Stéphane

P.S. Non, les Macchabées ne sont pas en guerre. C'est une fin sans querelle. Toute en douceur. On va se serrer la main très solidement et on va poursuivre chacun nos chemins. De toutes manières, Jean et moi sommes dans KidSentiment. On va continuer à rocker.

lundi 29 janvier 2007

Romane jour 69 - Hymne à la nuit

En plus de me ressembler physiquement(semble-t-il), la petite Romane serait-elle comme moi un oiseau de nuit? Tout comme elle, quand j'étais tout petit, j'exécrais la période juste avant d'aller me coucher. En fait, j'exagère un peu. Mon héritière ne pousse pas de hauts cris pendant des heures. On sent tout de même un désir de combattre la fatigue et rester parmi nous.

Encore aujourd'hui, je fais tout pour repousser le sommeil. N'importe quoi au lieu d'aller au lit(ça dépend des fois...vous me comprenez j'espère!). Je regarde pour la 137e fois de la journée mes courriels. Une autre manière d'enchaîner telle scène dans mon scénario. Une progression d'accord qui serait parfait pour une nouvelle toune de KidSentiment. Je vais aussi faire mon tour sur MSN pour voir si n'importe qui n'est pas en ligne.

Durant mon congé de paternité je me couchais en moyenne à trois heures du matin. Et j'adorais ça. Même sans rentrer saoul en titubant à la sortie d'un taxi. Du plus loin que je me souvienne, j'adorais regarder les émissions de télé les plus tardives. Je posais des questions existentielles aux adultes m'entourant pour retarder mon atterrissage au lit.

C'est pourquoi je jalouse Jean-Pierre Ferland d'avoir écrit ce qui suit :

Je ne veux pas dormir ce soir
Parce que la nuit est bien trop belle
Le ciel est trop luisant

Bonne nuit!
SP

vendredi 26 janvier 2007

TOP 5 des tounes pour me crinquer le vendredi!

Je ne fais pas souvent de tops mais voici mes choix pour le vendredi 26 janvier des chansons qui me crinquent en me réveillant...

1- Les grosses torches acadiennes - Mononc' Serge(mon péché capital)
2- Sunshine - Sweetheart Sebastian
3- Un autre monde - Téléphone
4- Ne reviens pas - Johnny Hallyday (mon péché mignon)
5-Rimini - Les Wampas

Et voilà!
Bon week-end
SP

jeudi 25 janvier 2007

Mon retour avec Les Improbables!

Après deux mois d'abstinence improvisatoire, de sevrage des planches, la bête se réveille...La bibitte d'impro en moi n'attend pas la printemps pour se manifester. Eh oui, Improbables, me voilà!

Pour ceux qui ne le savent pas, les Improbables, c'est une troupe d'impro avec qui j'ai partagé de nomberux bons moments au fil des années. Dans les tournois, ateliers ou matchs spéciaux. Depuis trois ans peut-être, nous aons nos soirées spéciales. Je n'en avais pas manqué beaucoup jusqu'à novembre dernier...je vous laisse deviner pourquoi.

Pour le 30 janvier en fait, je vais regarder les autres jouer devant moi. Je prend le contrôle de la soirée mensuelle des Improbables ce mardi le 30 janvier au Café Chaos. Le spectacle débute à 20h. C'est 4$.

J'aime bien retourner à l'impro par la porte d'en arrière...Ça va être drôle de voir les autres faire les pitres. Ça va être juste correct après une petite léthargie. C'est parfait pour se donner le goût de retourner cabotiner ou prosodier de grands drames.

Les Improbables, c'est comme un perpétuel fuck friend d'impro. Chaque fois qu'on se revoit c'est cool, on se raconte un paquet d'Affaires niaiseuses sur nos vies et tout d'un coup...oups! Il faut aller jouer.

SP

mercredi 24 janvier 2007

Le communiqué officiel de Cuisine et dépendances!

C'est avec joie et exaltation que nous vous invitons au spectacle "Cuisine et dépendance". Cette comédie écrite par Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri traite de l'amitié et des apparences. C'est lors d'un souper retrouvailles que tous les personnages auront l'occasion d'observer leurs travers et d'effectuer une formidable étude de caractère au fur et à mesure que les masques tomberont. C'est donc une vision satirique et très contemporaine des rapports humains où chacun pourra se reconnaître. Un immense succès en France.
Vous pouvez vous procurer vos billets en communiquant directement avec moi,
ou en contactant la billetterie du Monument National au (514) 871-2224,
ou encore sur réseau Admission au (514) 790-1245 ou www.admission.com

Les représentations sont les jeudis, vendredis et samedis soirs à 20h30, du 8 au 24 mars 2007.

Veuillez noter que cette pièce s'adresse plus aux adultes qu'aux enfants mais, si vous désirez venir en famille, ces derniers sont les bienvenus. Il y a un prix réduit à 12,00 $ pour les 12 ans et moins, 17$ pour les adultes, pas de taxes en sus.

Poètes! Vos papiers!!

C'est fou comme on plonge dans les souvenirs lorsqu'on déménage. Hier soir, je farfouillais parmi la tonne de paperasses qui ornent mon bureau et étrangle quotidiennement et progressivement mon ordi. Sur ces feuilles on trouve de tout : poèmes griffonnés, paroles de chanson, suite d'accords, idées ou flashs stylographiés, à peine déchiffrables par moment. L'inspiration va plus vite que la main. On trouve aussi des notes prises pour un énième projet d'écriture. Parfois je crois que je ne vivrai pas suffisamment longtemps pour mener tout ça à terme. S'il y a une vie après la mort, pourrais-je m'y consacrer à écrire?

La création est un processus lent. Difficile. "L'art est long, le temps est court" proférait Hippocrate. Entre l'ivresse d'une bonne idée venant de nulle part et l'assiduité à remettre notre idée cent fois sur le métier, il y a un monde. D'une petite harmonie ou mélodie, il faut se rendre à la chanson. D'une petite réplique savoureuse, il faut écrire un film au complet. Parfois c'est l'inverse. Nous avons toute la structure dans notre tête. C'est comme si c'était fini. Il ne reste qu'à mettre les mots dans la bouche des personnages ou les rimes dans la chanson. Plus facile à imaginer qu'à faire concrètement. Les idées ne viennent pas toujours devant le clavier. Il m'arrive souvent d'avoir une idée, la meilleure qui soit, quand j'ai les mains pleines de sacs d'épicerie. Et j'arrive chez moi en courant, le téléphone sonne, je laisse les sacs par terre, je n'enlève pas mes bottes...et je perd le fil de mes idées. Vingt, trente minutes plus tard, je suis devant le clavier et je crache tout ce que je peux avoir gardé en tête. Rien ne se perd...mais tout se créé.

Je vois poindre d'ici les résolutions ambitieuses que je m'impose déjà pour le prochain logement: ne pas laisser s'accumuler de la sorte les éclairs de génie sur mon secrétaire. Sans vouloir être pessimiste, j'ai l'impression que je vais mourrir enterré dans une tonne de petits papiers, des carnets remplis de pattes de mouches, des cahiers spirales débordant de prix littéraires jamais attribués...

Les mots de la fin reviennent à Gainsbourg par la voix de Régine :

"Laissez parler
Les p'tits papiers
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler"

SP

mardi 23 janvier 2007

Pas Ségo!? Réclamez 200$...

Aussitôt que Ségolène Royal a affirmé qu'elle était pour la Souveraineté du Québec(elle a pas été si directe que ça mais quand même...) les journaleux de Radio-Can se sont vite empressés de dire que la gauche française(on reviendra sur les soi-disantes positions de gauche de son Altesse Royal) habituellement était plus réfractaire à la cause souverainiste...Ils prennent ça où? ILs font bêtement l'association enter gaullistes(droite) et socialiste(gauche). Tout ça à cause du Vive le Québec libre! d'un certain Général...Donc, si vous suivez bien, les gaullistes-de-droite sont pour la souveraineté...Ce qui veut dire que les gauchistes sont "pas pour"...Vous suivez leur raisonnement? Encore et toujours discréditer la souveraineté en l'associant à la droite rétrograde. Et les fédés de Québec qui ont élu des députés du PCC? Ils étaient souverainistes je suppose? Et Paul Martin gouvernait à gauche toute?

Un de mes profs en histoire à l'Université de Sherbrooke nous rappelait que toute analogie est boiteuse. Ses corrections, parfois très sévères mais toujours justes, allaient dans ce sens. J'aurais aimé suivre ce cours en même temps que Michel C. Auger, Christian Rioux...
SP

lundi 22 janvier 2007

Ma critique en ligne!

Je ne savais pas que c'était disponible sur le web...

http://carriere.jobboom.com/mode-vie/lectures/societe/2007/01/12/3321618.html

SP

Conclusion subtile...

Ouf! Vous savez il y a de ces moments dans la vie où on se paie la traite, où on croit se faire plaisir tout en sachant qu'on va le regretter le lendemain. Une bonne cuite par exemple. C'est bon pendant que ça passe mais on sait que le lendemain le cerveau veut nous sortir du crâne. Mais on recommence.

Voilà ce qui m'est arrivé vendredi. Je suis allé voir L'illusion tranquille avec des copains. Je suis ressorti de là quasi catastrophé. Pas comme le film l'aurait voulu. Non, j'étais catastrophé par le manque de rigueur de l'Argumentation de cette tirade néo-libérale. De l'accumulation des sophismes de cette séance de brainwashing du Saint Patronat(que l'on prend bien soin de ne jamais nommer comme tel). De cette clique de 20-30 ans présentée dans le film comme LA génération des 20-30 ans. Toute cette démagogie nauséabonde, ces pleutres idéologiques fatigués avant de naître. Cette pseudo réalisatrice qui avoue d'emblée qu'elle ne s'intéressait pas à la politique il y a trois ans. Elle débute tout de go en affirmant que la politique québécoise est sclérosée par les débats constitutionnels et la "menace" imminente d'un nouveau référendum. C'est drôle comment les fédérastres tentent de nous rappeler que nous serions tannés d'entendre parler de référendums. Ce sont ces mêmes fédés qui nous disent que ça fait trop longtemps que l'on parle de constitutions. Ils aimeraient ça la belle unanimité silencieuse. Le bel oubli historique. Que l'on continue de se faire fourrer à tour de bras sous prétexte que ça fait de la chicane. Et cette réalisatrice qui affirmait en entrevue(dans les passages où Denis Julien la laissait parler) que le film ne parlait pas de souveraineté. Tout ça en associant gros comme le bras que le syndicat est partout au PQ après avoir soigneusement démoli le mouvement syndical sans avoir JAMAIS interviewé un syndicaliste ni personne de la gauche dans son foutu film.

Ce qui me rend triste dans tout ça c'est les chroniquailleux-journaleux peu ou pas politisés qui prétendent que c'est un bon film. Qu'il révèle des vérités. Ils ont probablement dit la même chose du Temps des bouffons, de Corporation ou Farenheit 911. Ils ne font pas la différence car ils ne savent pas prendre de recul par rapport à l'actualité.

Je lance un appel aux jeunes cinéastes qui ne savent pas juste tenir une caméra. Qui savent réfléchir aussi. Comme le Manifeste pour un Québec solidaire répondait aux Lucides à Luciens, il est temps que les Lucioles répondent à ces réacs du Kodak. S'il y a parmi vous des Kinoïtes qui ne trippent pas juste sur les trips "artsy fartsy" des jeunes réalisateurs branchés, mettez vos caméras à ON. Répondez à Joanne Marcotte et Denis Julien(qui ne sont même pas de vrais cinéastes!) par la bouche de votre Canon.

Stéphane

vendredi 19 janvier 2007

Respectez mon autorité!

L'économiste de droite(excusez-moi pour ce pléonasme en contexte nord-américain) Denis Julien, "co-réalisateur" avec Johanne Marcotte( elle aussi militante de l'ADQ qui ne lisait pas les journaux il y a 3 ans) du documentaire l'Illusion tranquille prétend que, et je cite, "Les critiques les plus négatives(sur son film, bien sûr) sont surtout venues des chroniqueurs culturels, qui n'ont aucune formation en économie"

http://www.cyberpresse.ca/article/20070119/CPARTS/701190968/1017/CPARTS

Non, mais...Je crois que dans ce cas-là on devrait exiger aux gens qui vont voir le film de posséder au moins une maîtrise en économie...ou une carte de l'ADQ. Car si on n'aime pas le film, on ne doit être que des syndicaleux-gaucho débiles...

D'ailleurs, Madame Marcotte parle des "élites syndicales" du Québec comme d'une chasse gardée cléricale ayant droit de regard sur tout ce qui se passe dans la société...Et les patrons, madame? On ne leur demande jamais leur avis? Ils ont leurs soldats qui jouent aux penseurs désintéréssés et réfléchis qui montent au front pour eux. Tous les Facal, Bouchard, Dubuc, Picher...Leurs opinions sont largement plus diffusées que celles des Chartrand, Lauzon. Encore hier, le Québec inc. avait le droit à deux pleines pages dans le Journal de Mourial pour s'exprimer sur les "solutions" pour relever l'économie québécoise! Amenez-en des projets! Rien de trop beau pour la classe patronale!

Tout ça pour dire que je suis masochiste et que mes copains et moi allons voir l'Illusion tranquille ce soir. Le plaisir sera de blaster le film ben comme il faut après...J'ai déjà hâte. Je suis de mauvaise foi, je l'avoue et je ne m'en porte pas plus mal. Je vous en reparle.

Stéphane

Où avais-je la tête?

J'ai failli à la règle élémentaire du journalisme : les 5 W(what, when, who, why, Wow!). En effet, je fais mon frais avec mon rôle de jeune premier dans une pièce française...et j'oublie de vous dire la date! Pas fort, pas fort...ça replace l'ego. Remerciements à maman pour ses bons mots. Sans elle, je continuerais à me ploguer sans vous dire QUAND je monte sur scène.

Rétablissons donc les faits. La pièce Cuisine et dépendances sera jouée du 8 au 24 mars durant les jeudis, vendredis et samedis à 20h30. Donc les dates exactes sont les suivantes:

8-9-10
15-16-17
22-23-24 mars!

Merci
Stéphane

S.O.S. Billets!

À tous ceux qui veulent venir voir "Cuisine et dépendances" je dois vous dire que les billets partent tout de même assez vite. Ce serait bon pour vous de me contacter au plus vite pour réserver vos places. Après avoir vu la salle, j'ai vu que nous aurons vite rempli l'endroit. Écrivez-moi à stephaneplante74@yahoo.ca

Tant qu'à être dans la pub aujourd'hui, dans un tout autre ordre d'idée, si vous avez chez vous des boîtes ou que vous connaissez un endroit où on en trouve, faîtes-moi signe au courriel ci-haut mentionné.

Sur ces bonnes paroles, bon week-end!
Stéphane

P.S. Je fais de moins en moins dans le politique sur ce blog...ce n'est qu'un petit moment à passer. Je reviendrai.

jeudi 18 janvier 2007

Cuisine et dépendance

Non, ce n'est pas la première pièce que nous avons commencé à ranger pour notre déménagement...Il s'agit plutôt la première pièce écrite par Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui(peut-être que ce n'est pas LA première mais c'était utile pour mon intro)!

Et c'est aussi la première pièce dans laquelle je vais joueur depuis des années. En effet, je vais tenir le rôle de Fred, un gambler hédoniste un peu bullshitteux, dans Cuisine et dépendance du 8 au 24 mars à la salle La Balustrade au Monument National(www.monument-national.qc.ca).

Cuisine et dépendance, c'est la rencontre entre vieux amis qui ne se sont pas vus depuis 10 ans...La vie passe, évolue, et les retrouvailles ne sont pas nécessairement heureuses. À vous de constater.

Au plaisir de vous voir dans la foule !
Stéphane

mercredi 17 janvier 2007

Romane jour 57 - Tel père...ou le père untel

Eh oui! Plus on rencontre des gens sur la rue, dans les restos, partout, plus j'entends "hé qu'elle ressemble à son père...!". Pourtant, humblement, je trouve ça encore difficile à dire quand je vois Romane. Oui, elle a les yeux qui bleuissent chaque jour. Oui, elle est ricanneuse. Oui, elle a souvent les cheveux en bataille, elle a un petit menton...Mais je trouve qu'il est tôt pour les concours de sosie de Stéphane Plante. Je vais continuer à l'observer plusieurs heures par jour pour être certain...

mardi 16 janvier 2007

Bye bye 6798!

Détrompez-vous, ce titre ne fait pas référence au énième retour de RBO pour une rétrospective futuriste avec un Guy A. Lepage cryogénisé. C'Est plutôt que nous nous apprêtons à quitter notre grand appartement de l'avenue De Lorimier. Nous allons nous retrouver dans quelques semaines dans un coquet logis sur la rue de Brébeuf. Nous quittons un Patriote pendu pour une rue rappellant le célèbre collège privé ayant formé PET et bien d'autres représentants de l'establishment canadian.

Donc, Bye bye 6798 De Lorimier et Bail bail 4246 De Brébeuf. À deux pas du Parc Lafontaine où je pourrai aller griffonner des poèmes tout en m'assurant d'être vu. Pas trop loin de l'Esco non plus. Je vais pouvoir rentrer à pied! Les chauffeurs de taxi du coin devront reconsidérer leur RÉER...

Sur ce, je m'en vais faire des boîtes. Une chance que je suis déménagé il y pas trop longtemps, plusieurs boîtes sont déjà toutes prêtes de mon dernier déménagement.

SP

lundi 15 janvier 2007

Enfin de retour! Plutôt qu'en fin de parcours...

Eh oui! Je m'y remets! Je poursuis les Saintes Écritures de ce blogue après vous avoir négligé pendant plus d'un mois! Le pire c'est que je n'ai pas d'excuses valables...Rien qui ne tienne la route. Ne trouvant rien à falsifier pour vous fournir des preuves j'ai décidé de reprendre du galon.

Au contenu en 2007!? Des résolutions, des révolutions(j'espère!), des blagues pas toujours peaufinés sur l'actualité, etc. Pour faire court, des impressions qui en disent long.

Aussi, qui dit blogue, dit "plogue". Avec la rime en prime. C'Est donc pourquoi je vous tiendrai au courant de tout ce qui s'en vient pour moi au cours de la prochaine année: pièce de théâtre, la fin imminente de l'ecriture de mon scénario, mon groupe de PowerPop qui en découle: KidSentiment!, mes frasques improvisatoires, mes critiques de livres...pour ne nommer que quelques unes de mes activités. D'ailleurs, aller voler le magazine Jobboom gratuit du mois de janvier pour aller lire la critique que je fais du livre de Yann Francis, L'Oeuf guerrier. Pas mal, pas mal. Son livre pas nécessairement la critique que j'en fais.

En terminant, oui, ô grand Dieu, oui, je vais parler de Romane. Promis. Je dois mettre aussi une photo en ligne. Une fois que j'aurai la photo en main, je vous jure de m'abstenir d'aller sur le pont pour crier "Papa t'aime"! Je n'en pense pas moins pour autant.